En France, 320 établissements donnent des formations sur le travail social. Une école supérieure de travail social est un établissement de formation pour ceux qui veulent travailler dans le domaine du métier du social. Beaucoup de bacheliers y poursuivent leurs études. Mais qu’est-ce qui caractérise une école supérieure du métier social ? Et quelles sont les conditions pour y adhérer ? Vous trouverez dans cet article des réponses pour ces questions.
École supérieure de travail social : c’est quoi ?
Il s’agit d’une école qui offre des formations professionnelles pour de différentes filières sociales. Parmi ces formations figurent l’étude de travail social, le paramédical, le médico-social, la santé et l’éducation. Par exemple, l’IRTS ou l’Institut régional du travail social offre une formation de base pour les travailleurs sociaux. Mais vous pouvez encore compter sur d’autres instituts tels que BTS, CAP, Prépa, Diplôme d’État, DUT, éducateur spécialisé, Licence pro, Master et MSc. Ces instituts sont soit publics, soit privés. La plupart d’entre eux distribuent des diplômes d’état. Tous les diplômés de ces écoles peuvent ensuite travailler dans le social. Une école supérieure de travail social propose également une alternative de suivi pour le métier du social : en alternance, en distance, en CPF ou en validation des acquis de l’expérience (VAE). La durée de ce suivi dépend de la disponibilité et de l’objectif de l’apprenant. Elle dure au minimum 1 an comme le cas du DE d’accompagnant social. Mais cette durée peut s’étendre jusqu’à 2 ans pour le DEME (niveau Bac) et 3ans (Bac+3) pour ceux qui veulent être éducateurs de jeunes enfants. Chaque école supérieure évalue leur propre coût. Parfois, un établissement exige de coûts annuels plus élevés, allant jusqu’à 6000 euros. Mais, l’apprenant peut bénéficier d’une bourse pour amortir ce coût. Plus d’infos sur https://www.etsup.com. Haut du formulaire
Quelles conditions pour intégrer une école supérieure de travail ?
La première condition pour intégrer une école supérieure de travail social, est de réussir les concours oraux et écrits. Les places sont parfois limitées. Donc il faut que les intéressés s’inscrivent le plus tôt possible avant que l’année scolaire débute. La deuxième condition est la suivante : un élève doit être titulaire d’un diplôme bac ou d’un autre titre équivalent. Malgré tout, certains établissements donnent une chance pour ceux qui ne disposent pas ces titres. Ils proposent des examens de niveau de la part de la DRASS ou la Direction régionale des affaires sanitaires et sociales. Les concernés En outre, il se peut que des apprenants décident d’étudier des établissements agréés par le ministère du Travail et de l’Emploi. On compte 53 écoles agréées en France. Ces élèves suivent des cours théoriques ainsi que des stages pratiques durant leurs parcours. À l’examen final, ces apprenants effectueront une épreuve écrite sur la vie collective, sociétale et économique. Avant de disposer le DEES « le diplôme d’État d’Éducateur spécialisé », l’étudiant doit passer par une soutenance de mémoire.
Comment faire pour s’inscrire à une école supérieure ?
L’inscription dépend des formations professionnelles qu’un apprenant décide de suivre. Un titulaire du bac ou d’un diplôme équivalent peut procéder à l’inscription en 1re année dans une école supérieure en France. L’inscription peut se faire sur internet. Tel est le cas du site Parcoursup. Un diplômé de France ou de l’Union européenne pourra s’inscrire sur cette plateforme. Pour cet établissement, l’inscription débute le mois de janvier ; la réponse de candidature se réalise en fin mai jusqu’à Mi-Septembre. À préciser que chaque formation dispose son propre calendrier universitaire. Pour ceux qui souhaitent entrer en 2e ou 3e année dans les grandes écoles de France, ils doivent envoyer directement une demande d’inscription auprès de l’établissement souhaité. Pour avoir plus de chance, le postulant peut déposer sa demande sur plusieurs écoles supérieures. S’il est accepté par l’établissement, il attend une réponse entre le 15 juin au 15 septembre : cas d’une année universitaire qui commence en octobre. L’apprenant se présentera ensuite à l’université pour compléter les dossiers exigés et pour choisir sa filière. Ensuite, il devra payer le droit d’inscription. Après quoi il recevra une carte d’étudiant et un certificat de scolarité.